DECIMOCUARTA VEZ




J'écoute le paysage de ton corps
Avec la bouche d'Electre, je parcours le parfum de ta peau
Je me perds dans le goût de ta voix brûle la seconde confuse
Je respire ton plaisir et mon âme de caresses lointaines suicide éternité
Pour toujours une fois ma silhouette est soie fondant instants
Minotaure inaccessible tu pénètres mes désirs avec ton regard mer
Les rêves sont grevés dans le vent
La lune est ma mémoire, révèle fraction
Sept fois vierge je calme ta voracité
Des lames de larmes je soupire obscurité
L’éclair et l'eau détruisent le chemin de mon ombre
Esclave de ma passion je murmure mon être
Victime du mythe neuf fois tu me dévores.
Mon amour est un nœud silence.
Le labyrinthe c’est moi

Escucho el paisaje de tu cuerpo.
Con la boca de Electre, recorro el perfume de tu piel.
Me pierdo en el sabor de tu voz, arde el confuso segundo.
Respiro tu placer y mi alma en caricias lejanas suicida eternidad.
Por siempre, alguna vez, mi silueta es seda fundiendo instantes.
Minotauro inalcanzable, penetras mis deseos con tu mirada mar.
Los sueños se gravan en el viento.
La luna es mi memoria, revela fracción.
Siete veces virgen, calmo tu voracidad.
Láminas de lágrimas, suspiro oscuridad.
El trueno y el agua, destruyen el camino de mi sombra.
Esclava de mi pasión, susurro mi ser.
Victima del mito, nueve veces me devora.
Mi amor es ovillo, silencio.
El laberinto soy yo.

Mère corrompue dévore déplorables désirs vains.
Punitions coupables, inondent une liberté bleue.
Sentiment primitif, brutal, d´un semblant primordiale.
Attente latente de futures existences.
Élément d´eau salée, densité de larmes, la mer lèche l´âme.
Vagues de silence, caressent oublis, rongent sentences.
Instrument admirable de sanctions, épuise une histoire.
Un univers parallèle de passions s’étouffe.
Des plaisirs envoûtants abusent de ma dignité.
Long voyage incertain, version extrême d´un organe vivant.
Evadée de mon être, j´incarne un corps consommé de rêves, destin sans regrets.
Offrande d’amour à deux mers.
Offrande d’amour entre deux mers.
Amour sans mer, Minotaure.

Madre corrupta devora miserables deseos vanos.
Puniciones culpables, inundan una libertad azul.
Sentimiento primitivo, brutal, de un semblante primordial.
Espera Latente de futuras existencias.
Elemento de agua salada, densidad de lágrimas, la mar lame el alma.
Olas de silencio, acarician olvidos, roen sentencias.
Instrumento admirable de sanciones crueles, agota una historia.
Un universo paralelo de pasiones se agobia.
Placeres hechizantes abusan de mi dignidad.
Largo viaje incierto, versión extrema de un órgano vivo.
Evadida de mí ser, encarno un cuerpo consumido de sueños, destino sin arrepentimientos.
Ofrenda de amor a dos mares.
Ofrenda de amor entre dos mares.
Amor sin mar, Minotauro.